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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 09:37

NOVEMBRE 2009

Jeudi 5 : Atelier d’écriture, au local de 14 h à 16 h 15.

Mardi 10 : Le geste qui sauve Troisième réunion de formation.
                                                                                      Au local de 9 h à 12 h.

Lundi 16 : Sortie découverte du Patrimoine. Visite guidée de la poterie du
Mesnil Bavent. Goûter à Amfreville. Prix non fixé. Départ à 13 h du parking
d’Ornano en voitures particulières. Inscriptions à partir du 19 octobre.

Jeudi 12 : Conférence
« Les Agricultures du Monde et Le Commerce Equitable ».
Nourrir 9 milliards
d’habitants et lutter contre la faim, par Claude Plai, Président de Bayeux
Commerce Equitable. Près de la moitié de la population mondiale vit de
l’agriculture et ce sont les ruraux qui comptent la plus grande partie des malnutris.
Après une présentation des agricultures nous nous proposons de vous présenter
le fonctionnement du Commerce Equitable labélisé Max Havelaar en France et
dans le monde.                                                Auditorium, à 14 h 30. Entrée libre.

Mardi 17 : Concert à Caen,
Mozart (Concerto pour piano et concerto pour basson),
une préparation
aura lieu auparavant. Informations au local.

Mardi 17 : Dédicace du livre de Dominique Laigle
               « L’histoire de Georgette, la poulette »,
au local de 14 h à 17 h.

Mercredi 18 : Cuisine au lycée Arcisse de Caumont, à partir de 16 h 30.
                       Farcis. Inscriptions au local du 9 au 16 novembre.

Vendredi 20 : Accueil des Nouveaux Arrivants à la Mairie,
                                Salle des Pas Perdus, à partir de 18 h 30.

Mardi 24 : Le geste qui sauve :Quatrième réunion de formation.
                                                     Au local de 9 h à 12 h.

Mercredi 25 : Dédicace du livre de Dominique Laigle
            « L’histoire de Georgette, la poulette »,
au local de 16 h à 18 h.

Jeudi 26 : Réunion du Conseil d’Administration régional, à Vire.

Vendredi 27 : Dictée à 14 h 30 au local.

 

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 10:06

Jeudi 1er : Atelier d’écriture, au local de 14 h à 16 h 15.

Mardi 6 : Concert à Caen, Tchaïkovski (concerto pour piano), une préparation
au concert se fera auparavant. Indications au local.

Jeudi 8 : Lecture - « Balade autour de L’heure bleue »…
par Dominique Laigle, conteuse, nouvelliste et illustratrice normande, vous
invite à une lecture balade , pleine d’humour et de surprises qui vous mènera
au cœur de nos paysages, sur nos rivages, au pays de la gourmandise ou dans
le mystère des choses. Au fil des textes, vous vous laisserez emporter dans
l’imaginaire de l’auteur. Logis du Gouverneur, rue Bourbesneur, à 14 h 30.
Entrée libre

Lundi 12 : Réunion du Bureau, au local à 17 h 30.

Mardi 13 : Le geste qui sauve. Première réunion de formation. Au local
de 9 h à 12 h.

Mercredi 14 : Dédicace du roman de Muriel Meunier, au local, de 10 h à 12 h
et de 14 h à 18 h.

Jeudi 15 : Sortie découverte du Perche : Départ en car, au parking d’Ornano
le programme détaillé (cela vient d'arriver sous presse)
le matin: 10h visite de Bellème, 12h déjeuner et visite du manoir de Courboyer
déjeuner sur place
l'après midi: la Chapelle Montligeon (Basilique), monument impressionnant du
XIX ème siècle dans un cadre verdoyant, visite libre
visite guidée d'un élevage de chevaux percherons dans une ferme traditionnelle
Départ du parking d'Ornano à 7h30; retour à Bayeux vers 20h30 maximum.
inscription au local : tarif adhérent 45 euros, vous pouvez emmener des amis
au tarif de 48 euros ( 3 euros de plus pour l'assurance).

Lundi 19 : Réunion du Conseil d’Administration, au local à 17 h 30.
Faites-vous inviter pour assister à cette réunion (2 personnes maximum).

Mardi 20 : Le geste qui sauve. Seconde réunion de formation. Au local
de 9 h à 12 h.

Mercredi 21 : Cuisine au lycée Arcisse de Caumont, à partir de 16 h 30.
Clafoutis. Inscriptions à l’accueil du 12 au 19 octobre.

Jeudi 22 : Commissions régionales, à Notre Dame de Gravenchon.

Vendredi 23 : Dictée à 14 h 30 au local.

VACANCES DE LA TOUSSAINT,

DU 23 OCTOBRE AU SOIR

                                                  AU JEUDI 5 NOVEMBRE MATIN

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 22:10

SEPTEMBRE 2009

Pour les réinscriptions et les nouvelles inscriptions, ouverture du local tous
les jours du lundi 7 au jeudi 10 Sept., de 14 h 30 à 17 h.

Attention, les animations qui se faisaient Salle Saint Patrice, auront lieu
au Logis du Gouverneur, rue Bourbesneur, pendant les travaux.

Vendredi 11 : Réunion de rentrée. Salle Saint Laurent à 14 h 30.
Aucune adhésion ne sera prise sur place.
Cette réunion permettra une
présentation de toutes les Activités ainsi que les réservations pour la cuisine
du 16 septembre et la visite du patrimoine du 24 septembre.

Lundi 14 : Reprise des activités suivant le calendrier.

A partir de ce jour la permanence sera assurée les lundi et mercredi
de 14 h 30 à 16 h 30 et sur rendez-vous, sauf vacances scolaires.

Mercredi 16 : Cuisine au lycée Arcisse de Caumont à partir de 16 h 30.
Macarons, Bouchées de pralinoise. Apporter des récipients. Inscriptions
uniquement le 11 septembre à la réunion de rentrée. 1,5 € par personne versé
pour la location de la salle, non remboursable en cas d’absence.

Jeudi 24 : Sortie découverte du Patrimoine. Visite guidée de Trouville sur
Mer et du musée Montebello. Goûter à Trouville. Le prix n’est pas encore fixé.
Départ à 12 h 45 parking Coubertin en voitures particulières. Inscriptions dès
la rentrée.

Jeudi 24 : Conversation Anglaise. Reprise de l’activité qui est animée par
Marie Paule Deschamps et Dominique Laigle.

Vendredi 25 : Dictée, au local, à 14 h 30.

Mardi 29 : Réunion de rentrée régionale, à Montivilliers.

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 11:33
SEPTEMBRE à DECEMBRE 2009

 

 

                                       LE MOT DU PRESIDENT

 

 

Bonjour à tous,

 

Les vacances viennent de se terminer. J’espère qu’elles ont été très bonnes
    et reposantes pour tous.

Il faut maintenant revenir sur terre et commencer une nouvelle année.

Cette dernière année de notre mandat, nous envisageons de la faire dans la 
     continuité des deux précédentes, pour le bien de l’AVF et de vous tous.
     N’oublions pas les Nouveaux Arrivants qui sont notre but principal et qui seront
     toujours prioritaires dans nos réactions.

A la fin de notre mandat, il faudra penser à notre succession, aussi je vous invite,
    dès maintenant, à nous rejoindre. Venez assister aux réunions du Conseil 
    d’Administration. Vous en parlez à un des membres du Bureau et nous vous
    convierons à assister. Vous serez toujours les bienvenus.

Cela vous donnera l’occasion de vous rendre compte par vous-même du   
     bon  fonctionnement, très amical, de l’Association. Nous pourrons accueillir
    deux personnes à chaque réunion.

Appel vous sera sûrement fait aux vacances de Noël pour la finition du petit
     salon, si les travaux résultant de la Mairie sont faits.
    Merci d’avance aux bénévoles, toujours partants pour donner un coup de main.

Je vous souhaite une bonne rentrée en AVF.

                                                                                                                         Jacky
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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 16:02

Le 7 mai avait lieu le repas dansant d'AVF. L'occasion de mettre les petits plats
dans les grands. 
Comme à la galette, la Fée "Déco" (Nicole pour les intimes), en
médaillon à droite sur la photographie, s"est penchée avec
tendresse sur la table et a réalisé, d'un coup de sa baguette 
magique, une décoration dont elle a le secret.




Selon les rumeurs lointaines,
"Celuidontonnepeutpasprononcerlenomsouspeinedamende" devait
passer pour
serrer la main de quelques-uns et donner de l'élan à quelques autres.
Mais il en est des rumeurs comme des bruits de couloirs, il suffit d'ouvrir une porte
pour que les courants d'air fassent place nette.
                                                                      Vanité des vanités, tout n'est que vanité!
 

Pourtant nos amis britanniques étaient sur leur trente et un comme l'atteste la
photographie ci-dessus.

Une soirée fort agréable si j'en crois les divers échos qui sont revenus à mes

oreilles.

 

Un autre événement avait lieu quelques jours plus tard, le mercredi 13 mai pour

être précis, au lycée Arcisse de Caumont, la dernière séance de cuisine.
Le thème devait être
"les mises en bouche et autres entrées apéritives"
si je me réfère à la photographie qui suit.
Il y a bien eu, semble-t-il, quelques divergences d'appréciation des boissons
apéritives mais qu'à cela ne tienne , l'année prochaine l'activité cuisine sera
accompagnée d'une initiation à l'oenologie !  Parole d'ivro...hips !

Merci à Monique qui m'a fourni les photographies de ces deux manifestations
culinaires d'importance.

PS: comme vous l'avez sans doute entendu à l'assemblée ordinaire de mercredi,
j'abandonne la rédaction du blog. Je remercie tous ceux qui ont suivi fidèlement
mes élucubrations et supporté mon humour.
Je suis disponible pour aider tout volontaire qui acceptera de reprendre le
flambeau.. heu.. le blog bien sûr.

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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 09:38

MAI 2009

Lundi 4 : Réunion du CA, à 17 h 30 au local.

Lundi 11 : Réunion préparatoire des fêtes médiévales, à 16 h 30, au local.

Jeudi 7 : Atelier d’écriture de 14 h à 16 h au local.

Jeudi 7 : Repas dansant de fin d’année. Salle Saint Laurent à 19 h 30. Animation
par Jean Louis Lecanu. Le repas est assuré par Pannier Traiteur.
Le prix sera communiqué ultérieurement.

Lundi 11 : Réunion des Accueillantes, à 17 h, au local.

  Mercredi 13 : Cuisine au lycée Arcisse de Caumont (date avancée pour cause
  de l’Assemblée Générale du 20)
de 17 h 30 à 19 h 30. Le programme n’est pas
  encore défini, il sera affiché au local. Inscriptions du 20 avril au 6 mai 2009.

Jeudi 14 : Conférence sur l’Homme et La Nature
par Michèle et Alain DELALE, Professeurs de Philosophie.
A la Halle Saint Patrice, à 18 h. Entrée libre.

Mercredi 20 : Assemblée Générale Ordinaire suivie de l’Assemblée Générale Extraordinaire, Salle Saint Laurent à 14 h 30. L’Assemblée Générale
Extraordinaire est nécessaire pour la modification des statuts locaux et
régionaux (affichés au local) de l’Association AVF. Une délibération ne peut
être validée que si la moitié des adhérents est présente ou représentée par
un pouvoir.
Si le quorum n’est pas atteint une seconde A.G.E. sera convoquée,
15 jours plus tard. Nous comptons sur vous
tous.

Mardi 26 : Immeubles en Fête (IEF). La fête des voisins en partenariat avec la
mairie se déroulera à partir de 18 h. Le lieu des différents sites sera précisé ultérieurement.

Jeudi 28 et Vendredi 29 : Congrès National à Montpellier.

Vendredi 29 : Dictée, à 14 h 30 au local. En remplacement du vendredi 22 mai
(pont de l’ascension).

JUIN 2009

Mardi 2 : Atelier d’écriture de 14 h à 16 h au local. Une séance de lecture est
prévue ce même jour à une heure qui sera précisée sur le blog et au local.

Jeudi 4 : Visite du Patrimoine. Le Château de Vendeuvre. Visite du château et
du musée, visite du parc et visite guidée des jardins non ouverts au public.
Goûter sur place. Départ en voitures particulières à 13 h 30 au parking de
Coubertin. Prix 17 €. Inscriptions au local à partir du 4 mai.

Lundi 8 : Réunion préparatoire des fêtes médiévales, à 16 h 30, au local.

Jeudi 11 : Conférence sur l’Ethiopie. « Découverte des traits culturels et des
paysages géologiques ». Par Denise et Alain LERCH professeurs de Biologie /Géologie. Membres du CREPAN (Comité d’Etude, de Protection et d’Aménagement de la Nature) Nous découvrirons des lieux étonnants grâce à
un diaporama sonorisé. N’oublions pas « Lucy » l’australopithèque au pays où
a commencé l’aventure humaine. A la Halle Saint-Patrice, à 18 h. Entrée libre.

  Samedi 13 : Journée du Nouvel Arrivant à Granville. Des informations
   complémentaires vous seront communiquées ultérieurement.

Samedi 13 et Dimanche 14 : Exposition des travaux des Adhérents AVF.
Salle Saint Laurent. Le samedi 13 aura lieu le vernissage de l’exposition à
11 h 30. ouverture de 14 h à 18 h. Le dimanche 14 : ouverture de 9 h à 12 h.
et de 14 h à 18 h.

Mardi 30 : Journée pédestre à la journée. Destination Barfleur. Prévoir un pique
nique, pot de l’amitié en fin de parcours. Départ à 9 h du parking Coubertin.

 

Les visites d’entreprises vous seront communiquées ultérieurement.

 

VACANCES D’ETE

A partir du 6 juillet 2009
jusqu’au 2 septembre 2009

 

Dates à retenir :

Dimanche 5 juillet : Défilé costumé des Fêtes Médiévales. Rendez vous au
local à 10 h 30 pour la photo souvenir. Départ du défilé à 11 h, place Saint
Patrice. Venez nombreux.

Lundi 7, mardi 8, mercredi 9 et jeudi 10 septembre 2009 :
Le local sera ouvert de 14 h 30 à 17 h pour les inscriptions et réinscriptions.

Vendredi 11 septembre : Réunion de rentrée, Salle Saint Laurent, à 14 h 30

Lundi 14 septembre : Reprise des Activités.

 

Dès maintenant, vous pouvez retirer votre reçu fiscal afin de le déduire de
votre déclaration, ce n’est pas négligeable. Prenez-en soin, il ne sera pas
délivré de duplicata.

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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 22:17
En guise d'introduction à cet article, cet extrait de la flûte enchantée qui illustre bien l'expression
d'"opéra maçonnique" attribuée à cette oeuvre de Mozart. Les instruments maçonniques,
compas, équerre utilisés traditionnellement au cours de l'initiation, sont remplacés par les
instruments de musique. 
   

Claude Dazel nous invite, une fois de plus pour notre plus grand plaisir, à un concert au
grand auditorium de Caen mardi 28 avril à 20h30. Au programme, deux œuvres de Mozart,
l’ouverture de « La flûte enchantée » et la symphonie n° 31 dite « Paris » et le concerto pour
violoncelle n°2, en ré majeur de Haydn
.

                                    Mozart                                      Haydn

« La Flûte enchantée » est le prolongement d’une collaboration de Mozart avec la compagnie
du « Theater an der Wien », un nouveau théâtre dans les faubourgs de Vienne, dirigé par
Schikaneder. Mozart accepte la proposition que lui fait Schikaneder d’écrire à nouveau un
Singspiel, c'est-à-dire un opéra-comique à succès d’autant plus populaire qu’il sera écrit dans
une langue intelligible par tous et s’adressera à toutes les classes sociales. Le livret de cet opéra
est inspiré par plusieurs contes de fée de l’écrivain Christoph Wieland, l’un des principaux
représentants des Lumières allemandes. L’œuvre serait la réalisation, en acte, d’un principe
maçonnique fondamental consistant à réaliser, en commun, un travail à destination spirituelle
                  Affiche réalisée par Chagall                  premier costume de Papageno


Ainsi, Mozart aurait participé activement à l’écriture du livret, tandis que Schikaneder aurait
composé certains airs comme ceux de Papageno et le duo avec Pamina. (Papageno serait
inspiré d’un personnage comique, Kasperl, recréé par Schikaneder dans plusieurs ouvrages à
succès)
Mozart dirige la première représentation le 30 septembre 1791, puis la seconde.
Il meurt le 5 décembre de la même année. La première représentation à Paris a lieu en 1801
sous une forme d’adaptation libre intitulée « Les Mystères d’Isis ».

Mozart, franc-maçon dévoué à l’initiation, écrit une œuvre retraçant les Grands Mystères et
célébrant les Noces Alchimiques annoncées dans les opéras initiatiques tel que Les Noces de
Figaro. Le compositeur rêve de ressusciter l’initiation égyptienne ( argument du livre de Christian
Jacq « Mozart le grand magicien ») perdue et si importante à ses yeux pour la paix du monde.
Il veut redonner la place aux Femmes oubliées et pourtant au centre des croyances initiatiques.

A propos de la symphonie n°31 dite  « Paris »  (  Kv 297 )

Mozart ouvrit ironiquement sa symphonie « avec le premier coup d’archet dont les idiots ici à
Paris font une telle affaire » aurait-il dit.


Texte anglais. Une pensée pour nos amis anglais d’AVF qui accepteront peut-être d’en faire
une traduction.

The work (symphonie n°31) was composed in 1778 during Mozart’unsuccessful job-hunting
sojourn in Paris. The composer was then 22 years old. The premiere took place on 18 june
1778 in a private performance in the home of Count Karl Heinrich Joseph von Sickingen,
the ambassador of the Palatinate. The public premiere took place six days later in a performance
by the Concert Spirituel.
  The work received a positive review in the june 26th issue of the
“Courrier de l’Europe” published in London:

“ The Concert Spirituel on Corpus Christi Day began with a symphony by Mozart. This artist,
who from the tenderest age made a name for himself amond harpsichord players, may today
be ranked among the most able composers”

The symphony was later performed in the Burgtheater in Vienna on 11 march 1783 during a
benefit concert for Mozart’s sister-in-law, the singer Aloysia Weber.

 

 


En 1784, une rencontre entre les deux compositeurs, Mozart et Haydn, eut bien lieu à l’occasion
d’une séance de quatuors réunissant Mozart, tenant la partie d’alto, Haydn au premier violon,
le baron Ditters au second pupitre et Vanhal au violoncelle. Les deux hommes se lieront d’amitié
malgré leur différence d’âge, une relation faite de sentiments d’estime et d’admiration réciproques.
A l’imitation de Mozart, Haydn adhère, en février 1785, à une loge maçonnique.

                                  La famille Mozart en trio                           un quatuor dirigé par Haydn

« Je vous le dis devant Dieu, en honnête homme, votre fils est le plus grand compositeur que je connaisse, en personne ou de nom, il a du goût, et en outre la plus grande science de la
composition » dira Haydn au 
père de Mozart.

C’est le plus jeune qui disparaîtra le premier hélas.

« J’ai été longtemps hors de moi à la nouvelle de la mort de Mozart et je ne pouvais croire que
la providence ait si vite rappelé dans l’autre monde un homme aussi irremplaçable »
écrira  Haydn à un ami de Mozart, Johann Puchberg.

Ces deux amis sont à nouveau réunis grâce à ce concert.



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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 12:06
Aux adhérents impatients de connaître la suite de la conférence de Dominique
Laigle, je propose, comme une introduction à l'art islamique qui domine cette
deuxième partie, ce clip vidéo publié à l'occasion d'une exposition qui a eu lieu
à l'Institut du Monde Arabe.

Après nous avoir fait voyager des rives de la méditerrannée au désert, Dominique
nous invite à explorer l'art islamique forgé, au Maroc, de multiples influences.

                                2- LA RICHESSE DE L’ARCHITECTURE
                              ET D’UN  ARTISANAT TOUJOURS VIVANT 

Carrefour des civilisations berbère, arabe et andalouse, le Maroc possède, sans
doute, le plus riche patrimoine architectural et culturel du Maghreb. Les traditions
locales, absorbées et adaptées, servirent de base à l’art islamique qui se
développa à partir de l’architecture et de l’art décoratif romain, chrétien et byzantin.
                                               A-    FÉS, ville impériale.

Fès est un centre religieux et universitaire. C’est une femme qui, en 859, y érigea
le cœur spirituel et intellectuel de la médina. La Mosquée Qarawiyyin, avec ses
16 nefs et ses 270 colonnes, avec sa médersa est la plus vieille université du
monde islamique. De nombreux musulmans andalous contribuèrent au
développement de Fès qui devint capitale impériale du Maroc. La renommée
de Fès attira des savants d’Andalousie ou du Caire. La Médersa Bu ‘Inania,
fondée en 1357, est une université, école de théologie dépendant de l’autorité
religieuse, qui dispensait l’enseignement du Coran et des sciences et servait
aussi de foyer aux jeunes gens des campagnes.


                             Qarawiyyin                                        Bou Inania

Au 17ème siècle, on dénombrait environ 8000 étudiants dans les différentes
médersas de la ville qui étaient des foyers culturels bouillonnants : on y
enseignait la théologie, la littérature, la poésie, la grammaire, la
médecine et
les mathématiques. Les savants et les maîtres spirituels étaient à l’aise aussi
bien dans l’interprétation du Coran dans l’astronomie ou la généalogie.
L’art
islamique développa, par rapport aux arts issus d’autres traditions religieuses
et culturelles, une spécificité. Parce que sa perspective ultime est l’Absolu
lui-même et non pas ses manifestations, l’art islamique a rejeté, en règle générale,
la solution iconique et le recours au naturalisme et à la figuration.
C’est pourquoi,
ce sont la calligraphie et la décoration géométrique qui occupent les premières
places au lieu de la peinture, prééminente dans la tradition artistique chrétienne
où l’incarnation est importante.
L’art maghrébin est, en général, un art abstrait
avec des exceptions par exemple dans l’art de la miniature.
Les zelligueurs
travaillent la céramique. Un zellige est un petit élément d’une marqueterie de
céramique émaillée, de formes géométriques diverses, servant au décor
monumental dans l’art maghrébin. Au début, il y a l’opération la plus délicate,
la découpe du zellige avec un marteau aiguisé, le menqach.


Le « maalem », maître artisan conçoit les formes et compositions des zelliges ;
les décors lui demandent adresse, patience et minutie. Il existe de petites
rosaces qui, à elles seules, exigent l’utilisation de 150 zelliges. Chaque lieu
décoré rivalise d’imagination dans l’agencement des motifs et atteint une
complexité étonnante, par exemple des étoiles à 8, 16, parfois 48 branches.
L’élégance des palettes utilisées révèle également l’importance de la couleur
dans l’art du zellige. Une harmonie froide sait s’enrichir de quelques notes
de couleurs chaudes où jouent les contrastes et tous les effets de la polychromie.
         Bab Bou jeloud              remparts de Fès                     porte du palais royal


L’enceinte de la médina, percée de portes monumentales, offre quelques uns des
plus beaux exemples de l’art musulman du Maghreb. La Médina de Fès
(le vieille ville) est un étonnant dédale moyenâgeux.
Fès El Bali fut fondée en
808 par le Sultan Idris II.
 
L’architecture des villes, aux plans compliqués,
intègre le nécessaire accès à l’eau. 
La fontaine est un élément vital. L’eau est
l’objet d’un véritable culte. Elle est la vie, l’absolue pureté. Les fontaines de
zelliges sont une offrande sacrée, dans la médina.
Les souks de la pittoresque
médina, aux nombreuses boutiques, offrent couleurs et odeurs, et la richesse
d’un artisanat toujours vivant.  
 
                         Quartier des tanneurs                           ébéniste

Dans le célèbre quartier des tanneurs, dans les tanneries et les ateliers de teinture
du cuir, les peaux sont encore tannées et teintes de manière traditionnelle.
On a creusé dans le sol de grandes cuves que l’on remplit de matières
tannantes (par exemple des déchets de la sylviculture, comme l’écorce du
chêne-liège…), puis dans lesquelles on plonge les peaux. Le cuir est également
teinté dans le même genre de cuves. Les hommes foulent les peaux, sans relâche,
dans ces bassins. Les écheveaux de laine sont teints dans les souks.
Les senteurs
de cèdre sont omniprésentes au Maroc. Le cèdre est partout dans l’architecture.
Des caravansérails, hôtelleries pour les caravanes, permettaient d’accueillir les
voyageurs venus pratiquer le commerce dans la Médina.

B. – Marrakech – ville impériale

Joyau des villes impériales du Maroc, et capitale berbère du Sud, Marrakech a
pour cadre les sommets enneigés de l’Atlas. Dernière oasis avant l’Atlas,
Marrakech surgit dans la plaine du Haouz, nichée au milieu de l’immense
palmeraie millénaire, entourée de murailles. La palmeraie compte près de
100 000 arbres. Marrakech sortit des sables en 1062. La ville fut, jusqu’en 1269,
la capitale de la dynastie berbère des Almoravides, puis des Almohades.
Elle conserve, dans toute sa pureté originelle, la structure médiévale de l’époque
de sa fondation.
L’image des cigognes nichées au sommet d’un pan de mur,
près de la porte Bab Agnou, est familière. A l’intérieur de l’enceinte, la
majorité des constructions, palais ou demeures modestes, sont édifiés en terre.

                    Les remparts de Marrakech                           Bab Agnou


La muraille d’enceinte ocre, haute de 8 à 10 mètres est jalonnée de 200 tours
carrées et percée de 7 portes (bab) qui permettent d’entrer dans la médina.
L’enceinte défensive de la ville, édifiée en pisé d’argile mélangé à de la
chaux et de la pierraille, s’étend sur 19km.
 
Les portes monumentales
ouvertes dans la nudité des remparts apparaissent comme des enluminures
sur la terre ocre. Ces arcs ponctuent toute l’architecture marocaine.
La porte Bab Agnou, magnifique monument, offre une succession de 4 arcs,
que vient alléger un riche décor floral digne de la porte.
La belle frise
calligraphique sculptée qui court dans l’encadrement est un élément
inséparable de la plupart des portes marocaines.
                                      
                                                                         Tempête de sable à Marrakech


Sous le règne du sultan Yacoub el Mansour, au 12ème siècle, les Almohades se
firent bâtisseurs et construisirent la mosquée de la Kutubiyya. Son célèbre
minaret, qui a servi de modèle à la Giralda de Séville, et à la tour Hassan de
Rabat, est sobrement décoré de briques et domine la place Djemaa el Fna.
La mosquée, inaugurée en 1158, est représentative de l’art hispano
mauresque. La Kutubiyya, ou « mosquée des libraires », doit son nom au
souk des marchands de manuscrits installés autrefois devant ses murs.
Le minaret est construit en grès rose. De base carrée, il s’élève à
77 mètres ; il est composé d’une tour et d’un lanternon, et surmonté de 3 boules
de cuivre doré, fabriquées, selon la légende, avec les bijoux de Zineb, l’épouse
de Yacoub el Mansour. Elles symbolisent : le monde terrestre pour la plus petite,
le monde céleste et le monde spirituel pour la plus grosse.
Le décor extérieur
du minaret combine peintures sur enduits et ornements floraux et calligraphiques,
réseaux d’entrelacs en relief et bandeaux de faïence.
 
Les médersas déploient
leur décor de zelliges autour d’une cour géométrique flanquée d’un bassin
ou d’une fontaine à ablutions.


La cour de marbre et d’onyx est bordée de moucharabiehs, qui séparent
les parties communes et le quotidien, du sacré. Les galeries abritent des
chambres austères. Au fond, la salle de prières devient salle de cours.
Les soubassements et les piliers sont d’abord ornés de zelliges, puis viennent
ensuite des versets du Coran en écriture cursive sur du plâtre ciselé et le bois
ouvragé qui soutient les tuiles vernissées vertes.
 
La vie explose sur la place
Djemaa el Fna, centre névralgique qui offre splendeur, pittoresque et vie en
permanence, et où les conteurs, les musiciens, les acrobates, les charmeurs de
serpents captivent les badauds, et où les touristes marchandent.

                       Souk des dinandiers                            souk des teinturiers


Marrakech possède la plus grande médina du Maroc. Dans les souks, qui
s’étendent sur 20 hectares, l’on rencontre une extraordinaire richesse
artisanale et une originalité exceptionnelle : un mode de vie ancestral perdure
derrière les remparts séculaires de Marrakech.
 
Dans la médina, les métiers
de l’artisanat s’ordonnent par quartier et par profession.
 
La dinanderie est
l’art médiéval de la production d’objets en laiton coulé, et le travail artistique du
cuivre ou du laiton en feuille par martelage d’un dessin avec un clou, un marteau.
L’artisan façonne des objets qui répondent toujours à un besoin pratique.
Il travaille avec un outillage qui est le prolongement de sa main. La création
artisanale ne tombe jamais dans la répétition pure. Les écheveaux de laine
et de soie sèchent dans les souks.
Le Maroc a une réelle richesse artisanale
qui maintient des traditions séculaires, tout en se modernisant en permanence,
de l’inventivité et une adaptation continue aux besoins des marchés ainsi que
de solides attaches terriennes. Les habitants continuent de s'approvisionner
auprès des artisans
                                                        CONCLUSION

 

Le Maroc possède un patrimoine artistique unique, probablement, le plus riche
patrimoine culturel du Maghreb. La rencontre des civilisations berbère, romaine,
arabe et andalouse a donné au Maroc ses couleurs, et une extraordinaire richesse,
fruit de l’histoire, de la nature et, surtout, du travail des hommes.

                      Rabat  tour Hassan                         Arc de triomphe de Caracalla


Un philosophe grec a écrit : « L’intelligence est dans la main. » La perfection
de ce travail aérien, aux mille arabesques, en est le témoin éblouissant.

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 13:45

Jeudi 19 mars avait lieu la sortie découverte du patrimoine. Chantal et Thérèse avaient organisé
une visite du château de Combourg et de la cathédrale Saint Samson à Dol.

Le château de Combourg a été construit sur un éperon rocheux occupé dès le 11ème siècle
par le donjon
du premier seigneur de Combourg, Rivallon. Reconstruite au 12ème et 13ème
siècle, la forteresse comprend la « Tour du Maure » (A)  reliée au 14ème siècle aux deux
« Tours face au Midi » : la « Tour de l’Est » (C)  (ou « Tour Sybil ») et sa tourelle d’escalier (D)
et la « Tour du Chat » (E).


Au 15ème siècle, la construction s’achève avec la « Tour du Croisé » (B)  et la façade nord,
au milieu de laquelle on voit toujours « les taillades à travers lesquelles sortaient jadis les bras
et les chaînes du 
pont-levis ». Les quatre tours rondes, d’époques et de tailles différentes,
forment un tout homogène
qui permit à Chateaubriand d’écrire que « le château entier avait la
figure d’un char à quatre roues ».


Acheté en 1761 par René Auguste de Chateaubriand, père de l’écrivain, le château a été
restauré à partir de 1876 par son arrière petit-fils Geoffroy, avec le concours de Trihle,
élève du célèbre architecte
Violet le Duc ; ce dernier influença, en particulier, la construction
du monumental escalier intérieur  en chêne de Hongrie.

Lieu de mémoire et de pèlerinage pour les admirateurs du célèbre écrivain, le château, qui
appartient toujours aux descendants de René Auguste de Chateaubriand par le frère aîné de
l’écrivain qui, lui, n’a pas eu d’enfants, renferme des tableaux et du mobilier intéressants ainsi
que des objets ayant appartenu au célèbre auteur des « Mémoires d’Outre-tombe ». 


C’est donc cette forteresse qu’une troupe appartenant à la tribu des Avéef, issue du peuple
des Bajocasses bien connus pour la qualité de leur accueil,  n’a pas hésité à investir avec une
« mâle assurance » (je sens que je vais me faire des amies…). Pénétrant par la face nord, les
visiteurs atteignent rapidement les remparts dont ils font le tour sans rencontrer la moindre
résistance.

 

Ils seront récompensés par la richesse mobilière et décorative du grand salon et la visite de la
chambre de l’auteur des mémoires d’outre tombe, Chateaubriand qui a préféré aller se
« reposer » sur un rocher, l’île du Grand Bé,  face à Saint Malo. Voilà ce qu’il écrit dans ses
mémoires :

Description du donjon où Chateaubriand dormait enfant

  «La fenêtre de mon donjon s'ouvrait sur la cour intérieure ; le jour, j'avais en
perspective les créneaux de la courtine opposée, où végétaient des scolopendres
et croissait un prunier sauvage. Quelques martinets qui, durant l'été, s'enfonçaient
en criant dans les trous des murs, étaient mes seules compagnons. La nuit, je n'apercevais qu'un petit morceau du ciel et quelques étoiles. Lorsque la lune
brillait et qu'elle s'abaissait à l'occident, j'en était averti par ses rayons, qui
venaient à mon lit au travers des carreaux losangés de la fenêtre. Des chouettes
voletant d'une tour à l'autre, passant et repassant entre la lune et moi, dessinaient
sur mes rideaux l'ombre mobile de leurs ailes. Relégué dans l'endroit le plus
désert, à l'ouverture des galeries, je ne perdais pas un murmure des ténèbres. Quelquefois, le vent semblait courir à pas légers ; quelquefois il laissait échapper
des plaintes ; tout à coup, ma porte était ébranlée avec violence, les souterrains poussaient des mugissements, puis ses bruits expiraient pour recommencer
encore. A quatre heures du matin, la voix du maître du château appelant le valet
de chambre à l'entrée des voûtes séculaires, se faisait entendre comme la voix
du dernier fantôme de la nuit. »

Notre troupe, l’esprit chargé d’un butin intellectuel riche et varié, abandonne le château à ses
fantômes et rejoint Dol et sa cathédrale. Un banquet, sans sanglier, permet à la troupe de se
préparer à envahir la cathédrale Saint Samson et le cathédraloscope.
Les nourritures temporelles passent avant les nourritures spirituelles en ces temps troublés.
Qui sait de quoi sera fait demain..?



 

 ( En l'absence de photographies rendant compte de la deuxième partie de la visite, j'ai mis
   mes propres photographies )
Ces trois vues d’une maquette de cathédrale gothique montrent la légèreté et, par conséquent,
l’élévation de la structure.


La photographie de gauche montre la « cage d’écureuil » qui permettait de monter de gros
blocs de pierre taillée ou sculptée dans les parties hautes des échafaudages dont on voit la
structure sur l’image de droite. Lorsque la hauteur des constructions devenait importante,
pour des raisons de sécurité on ne posait plus les échafaudages sur le sol : comme sur les
chantiers romains, on les suspendait en les accrochant dans des trous carrés qui restaient
ouverts et étaient réutilisés en cas de réparation : on les appelait et on les appelle toujours
des « trous de boulins ». Ce système permettait de faire des économies de bois.
Simultanément à l’élévation des murs, on construisait des escaliers et un réseau de galeries
qui assuraient le va et vient des ouvriers. Leur existence permettait, par la suite, un accès
rapide pour effectuer l’entretien et les réparations.

A ceux qui désirent une visite un peu plus complète, je propose ce site du musée à découvrir.


http://www.previsite.com/virtual-tour/Ille-et-Vilaine-35/BAGUER-MORVAN-35120/Cathedraloscope-Dol-de-Bretagne-4503.h


Merci, une fois de plus, à Edith qui m'a fourni les photographies de cette journée.

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 08:42

Jeudi 2 : Atelier d’écriture de 14 h à 16 h au local.

Jeudi 2 : Dédicace du livre de Martine Chopin : « La légende de l’Aure ».
De 16 h à 17 h 30, au local. La naissance de l'Aure et son parcours jusqu'à
Port en Bessin à partir d'un mauvais sort jeté par une marâtre au berger
amoureux de sa belle-fille. Un joli conte écrit et réalisé par des enfants de 6
à 8 ans qui nous replonge dans les contes de notre enfance et que nous
aurons plaisir à lire et relire à nos enfants ou petits enfants
.

Lundi 6 : Réunion préparatoire des fêtes médiévales, à 16 h 30, au local.

Lundi 20 : Réunion des animateurs. Cette réunion permettra la préparation
du futur bulletin annuel pour l’année prochaine. Au local, à 17 h 30.

Vendredi 24 : Dictée à 14 h 30 au local.

Vendredi 24 : Préparation pour le concert du 28 avril. A 17 h au local.

Lundi 27 : Réunion du bureau à 17 h 30 au local.

Mardi 28 : Concert à l’Auditorium de Caen. A 20 h. Au programme Mozart
et Haydn. 20 personnes maxi. Inscriptions à l’accueil jusqu’au 3 avril 2009.

VACANCES DE PRINTEMPS

Du Samedi 4 avril au lundi matin 20 avril 2009.

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